Avant de produire un épurateur qui effectue un assainissement de l’air, la société JVD, dirigées par Thierry Launois, était spécialisée dans les produits d’hygiène des mains. Notamment, les gels et les savons. Désormais, elle va se lancer dans un nouveau secteur. En misant sur le design et une fabrication française.
Pour assainir des espaces individuels
Dès l’année prochaine, le purificateur de JVD, aux lignes très esthétiques, sera commercialisé. Il aura fallu quatre ans de développement pour le mettre au point. Ensuite, il pourra sans difficulté assainir un espace individuel de 15 m 2. Entre autres, en s’accrochant au mur ou en étant posé sur une table. Sa fonction étant de créer un sorte de « bulle personnelle ». En fait, sa commercialisation a été avancée, car JVD a compris qu’elle pouvait tirer parti des nouvelles préoccupations dues à l’épidémie de Covid. Pour être concurrentielle face à la production étrangère, cette entreprise a misé sur un design accrocheur, né de l’imagination de Remy Fischler.
Neutraliser les molécule polluantes pour un meilleur assainissement de l’air
Avec cet appareil, grâce à plusieurs technologies conjointes qui produisent un processus intelligent d’oxydation ciblée, les molécules polluantes se trouvent neutralisées. En fait, son processus technique élaboré parvient à modifier la chaîne carbonée des molécules contaminantes. Au final, cela permet de reminéraliser l’air et de le rendre plus sain à respirer. Entre autres, au moyen du procédé de filtration HEPA. De cette manière, la société JVD s’engage à débarrasser l’atmosphère ambiante des particules fines et des micro-organismes. Au passage, cette épuration supprime aussi les mauvaises odeurs.
Vers une production plus intensive
Pour préserver l’efficacité de son système d’assainissement de l’air pendant plusieurs années, la société a aussi perfectionné le changement de filtre dans ses appareils. Celui-ci étant essentiel pour obtenir de bonnes performances. Dans ce but, JVD a mis au point un procédé de régénération automatique qui permet au filtrage de durer au moins trois ans. Confiante dans le succès de son nouveau produit, étant donné la prise de conscience due a la crise sanitaire, l’entreprise a investi trois millions d’euros pour grossir son volume de production. A l’avenir, ce changement d’orientation devrait changer en profondeur son activité. Celle-ci étant jusqu’à présent surtout centrée sur la vente de sèche-mains et de distributeurs de savon ou de papier. Pour cela, la production industrielle de JVD s’appuiera sur des sous-traitants nantais. Ainsi, ces derniers viendront renforcer les efforts des 130 salariés actuels de la société.
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