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Les limitations sur les drones policiers continuent de soulever des débats sur les libertés publiques.

Limitations sur les drones policiers : un usage encore problématique

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Actuellement, les limitations sur les drones policiers continuent de faire débat. Alors que les forces de l’ordre plébiscitent leur utilisation croissante. Par conséquent, il devient urgent de définir un règlement officiel concernant leur usage.

Une évolution technologique en cours

Les limitations sur les drones policiers continuent de soulever des débats sur les libertés publiques.

Les limitations sur les drones policiers continuent de soulever des débats sur les libertés publiques.

Depuis 2017, on observe que plusieurs grandes villes ne se préoccupent pas d’éventuelles limitations sur les drones policiers. Notamment, parce que ces appareils sont très utiles. Par exemple, pour surveiller des manifestations dans les rues. Ou encore, pour détecter des catastrophes naturelles. Ces avantages sont très appréciés par la police nationale. Mais aussi des policiers municipaux. Leurs effectifs étant aujourd’hui en plein développement. Ce qui entraîne aussi de nouveaux besoins. Avec des techniques de terrain qui sont en train d’évoluer. Entre autres, dans le domaine technologique.

Des avantages à clarifier

Pour ces différentes raisons, les drones deviennent de plus en plus courants. Ainsi, on les utilise en soutien lors de certaines opérations de police. En effet, face à de nouvelles menaces comme le terrorisme, ces appareils permettent des détections utiles. Voire, des réactions plus rapides. Facilitées par la vision augmentée qu’ils permettent. Ce qui est favorable à une sécurité renforcée des populations. Cependant, malgré ces avantages, l’usage des drones par la police continue de faire débat. Principalement, à cause des risques qu’ils pourraient entraîner pour les libertés individuelles.

Atténuer la méfiance

Aujourd’hui, l’aide à la décision fournie par les drones est indéniable. Cependant, l’utilisation des données qu’ils collectent doit impérativement être encadrée. Notamment, en termes d’exploitation et de conservation. Pour cela, le contrôle fourni par les Analyses d’Impact Relative à la Protection des Données du règlement RGPD semble une protection efficace. En tous cas, à même de satisfaire la CNIL. Ce qui devrait lui faire accepter des règles claires de limitations sur les drones policiers. Sans cette mise au point, l’acceptabilité des drones par les citoyens restera problématique et source de méfiance.

Définir des règles légales

Pour l’instant, les limitations sur les drones policiers obligent à réfléchir sur leurs futurs emplois. Afin qu’ils ne soient pas perçus comme une menace liberticide. Dans ce but, il faut clairement encadrer la doctrine appliquée par la police. Ce qui inclut les policiers municipaux. Cela, d’autant plus que la protection des libertés publiques est récemment revenue au premier plan. Lors des vifs débats sur la loi « sécurité globale ». Dorénavant, une clarification devient urgente. La sécurité étant l’une des préoccupations prioritaires des citoyens. En particulier dans les zones urbaines et périurbaines denses.

La nécessité de rassurer

A ce jour, cette attente citoyenne préoccupe les élus. Ces derniers se devant désormais de rassurer. Au sujet des outils mis en oeuvre pour garantir une sécurité optimale. Tout en préservant le respect des libertés des Français. Forcément, cet enjeu soulève des questions complexes. A la fois techniques et légales. Mais tant qu’elles ne seront pas résolues, l’usage sécuritaire des drones restera mal perçu.



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Né à Paris le 12 Décembre 1981, Pierre Baron est un journaliste français. En 1999, à tout juste 19 ans, il débute une carrière de journaliste à News-York sur la chaîne spécialisée en économie Bloomberg TV. Il rejoint BFM TV dès son lancement en 2005 et anime des émissions sur la chaîne d'info en continu de 2005 à 2010. On le voit ensuite sur iTélé, entre 2011 et 2017 date à laquelle il intègre la rédaction du Bulletin des Communes qui lui confie la rubrique NTIC.