Jardin partagé et plantation d’arbres. L’occasion pour les habitants de venir y planter un arbre fruitier et de sensibiliser parents et enfants du village à l’importance de la biodiversité tout en développant le lien social et la solidarité dans un espace public.
Le jardin partagé sera donc planté d’arbres fruitiers, les futures récoltes seront destinées à être partagées. Le fonctionnement de ce jardin repose sur le bénévolat et l’entraide des utilisateurs : un animateur sera chargé d’animer le lieu et de sensibiliser les jardiniers au développement durable, notamment à la limitation de l’usage des produits phytosanitaires.
Les jardins partagés, on nous en parle souvent, mais savez-vous vraiment ce qu’ils sont ?Â
On distingue les jardins partagés également appelés jardins collectifs ou jardins communautaires. L’histoire des jardins partagés. On associe régulièrement la naissance des premiers jardins partagés à celle des community gardens créés par Liz Christy à New York dans les années 70.
Il s’agit de ce que l’on appelait les jardins ouvriers apparus au cours du XIXe siècle. Ces community gardens ont non seulement pour objectif de produire des fruits et légumes, embellir la ville, mais sont surtout des lieux de rencontres pour les habitants des quartiers parfois défavorisés.
Dans ces jardins familiaux, chaque jardinier choisit de venir jardiner sur sa parcelle lorsqu’il le souhaite. On les distingue les jardins partagés également appelés jardins collectifs ou jardins communautaires.
 Le lien social qui se tisse dans la communauté, c’est le cœur du jardin partagé. »
Les jardins partagés se distinguent nettement des jardins familiaux car les jardins sont gérés ou entretenus par tous les participants, des moments de rencontres sont organisés et le jardinage ne s’effectue pas chacun de son côté, mais tous ensemble. En effet, l’enjeu premier n’est pas de produire sa nourriture, mais d’y créer des liens sociaux à travers des activités et événements aussi divers que variés.
Le jardin partagé est défini comme un jardin créé ou animé collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles et éducatives et étant accessible au public.
En effet, l’enjeu premier n’est pas de produire sa nourriture, mais d’y créer des liens sociaux à travers des activités et événements aussi divers que variés. Les jardins partagés s’associent de plus en plus à la création de poulaillers urbains, de ruchers ou encore de plateforme collective de compostage.
Jardin partagé et plantation d’arbres. Des lieux incomparables de solidarité : entraides entre voisins
Parfois même, les jardins partagés deviennent des lieux incomparables de solidarité : entraides entre voisins, prêts d’outils, échanges de plantes ou échanges de compétences. Les jardins partagés et les jardins familiaux, quelles sont les différences ?
Facilement, nous pouvons distinguer les jardins familiaux dont des parcelles individuelles sont mises à disposition par une association pour des jardiniers.
Les jardins partagés sont des lieux où les échanges et les rencontres avec les autres jardiniers vont vous permettre de découvrir le jardinage et de temps en temps de repartir avec vos propres récoltes.
Jardin partagé et plantation d’arbres créé ou animé collectivement
D’abord, mettons au clair les différentes typologies de jardins. Le jardin partagé est défini comme un jardin créé ou animé collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles et éducatives et étant accessible au public.
Dans ces jardins familiaux, chaque jardinier choisit de venir jardiner sur sa parcelle lorsqu’il le souhaite. Il peut s’agir d’une bourse aux plantes, d’une « soupe party », d’une projection de film, d’un pique-nique, d’un chantier participatif, d’un café-bricoleur …