Domaines skiables fermés : une sensation d’injustice
A ce jour, les domaines skiables fermés sont dans l’expectative. Notamment, à cause de l’interdiction actuelle appliquée aux remontées mécaniques. Néanmoins, en Isère, l’agence Isère Attractivité espère toujours convaincre l’exécutif de laisser les stations de sa région rouvrir. Cela, afin qu’elles puissent travailler normalement.
Des efforts qui restent ignorés
Aujourd’hui, l’agence départementale de développement et de promotion touristique de l’Isère, Isère Attractivité, continue de réclamer que les domaines skiables fermés puissent fonctionner pendant les vacances d’hiver. Notamment, parce qu’elles ont fait tout leur possible, depuis des mois, pour respecter les règles sanitaires en vigueur. En effet, la région et le département ont fait des efforts considérables pour que les files d’attentes et les remontées mécaniques dans les stations respectent scrupuleusement les gestes barrières. Malgré tout, les contraintes qui sont pour l’instant appliquées en France par le Premier ministre pénalisent très durement les stations. Alors que la Suisse, l’Autriche et l‘Espagne n’appliquent à ce jour aucune interdiction dans les leurs. Ce qui risque de pousser les vacanciers français, amateurs de ski, à quitter la France pour pouvoir profiter de vacances de neige agréables.
Des contraintes incompréhensibles
Pour la région, qui a mis en place des protocoles sanitaires rigoureux pour garantir la sécurité des clients dans les stations de ski, l’exécutif doit rapidement revoir les règles qu’il impose. En assouplissant des contraintes incompréhensibles pour les domaines skiables fermés. Car les conséquences financières qu’elles entraînent pourraient être dramatiques. Ainsi, Chantal Carlioz, Présidente d’Isère Attractivité, maintient que les stations sont toutes prêtes à rouvrir. Car elles ont déjà fait tous les efforts nécessaires pour garantir une sécurité maximale à leurs clients. Y compris en commandant de nombreux tests antigéniques. Pour lesquels les maires ont passé commande. Aujourd’hui, Chantal Carlioz garde l’espoir que son appel pour que sa région vive à nouveau normalement sera entendu au plus vite.
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