La CGT dénonce avec force le Conseil d’orientation des retraites (COR), affirmant qu’il est devenu un outil au service d’une unique vision politique. Cette critique intervient après la publication d’un rapport du COR qui, selon le syndicat, privilégie une seule solution pour l’équilibre des retraites: le recul de l’âge de départ. « Le Conseil d’orientation des retraites est devenu un instrument totalement au service d’une seule politique », déclare la CGT, soulignant une orientation jugée inacceptable.
La CGT Dénonce Une Orientation Unique
Le COR, Instrument D’Une Seule Politique
La CGT exprime de vives inquiétudes quant à l’orientation actuelle du Conseil d’Orientation des Retraites (COR). Selon le syndicat, le COR semble s’être transformé en un simple outil au service d’une politique unique, dictée par le gouvernement. Cette instrumentalisation compromet l’objectivité et l’impartialité nécessaires à une évaluation équilibrée des enjeux liés aux retraites. La CGT craint que les recommandations du COR ne soient plus le fruit d’une analyse approfondie et indépendante, mais plutôt le reflet d’une volonté politique préétablie. Il est important de noter que le nouveau rapport du COR est au centre de cette polémique.
Le Président Du COR, En Mission Commandée
La CGT met en cause le rôle du président du COR, qu’elle accuse d’être « en mission commandée ». Le syndicat suggère que le président du COR, en raison de ses liens supposés avec le pouvoir exécutif, orienterait les travaux et les conclusions de l’instance de manière à servir les intérêts du gouvernement. Cette situation soulève des questions quant à l’indépendance et à la crédibilité du COR. La CGT dénonce un possible conflit d’intérêts et appelle à une clarification des relations entre le président du COR et le gouvernement. On peut se demander si le président du COR est vraiment ami d’Emmanuel Macron.
Un Scandale De Préconisation Unique
La CGT dénonce ce qu’elle considère comme un « scandale » : le fait que le COR ne propose qu’une seule préconisation en matière de réforme des retraites. Le syndicat rappelle que, traditionnellement, le COR présentait différentes hypothèses et laissait aux responsables politiques le soin de trancher. En ne mettant en avant qu’une seule option, le COR fausserait le débat et empêcherait une discussion ouverte et pluraliste sur les différentes solutions possibles pour assurer la pérennité du système de retraites. La CGT insiste sur la nécessité d’explorer d’autres pistes que le recul de l’âge de départ à la retraite, et propose des alternatives concrètes pour financer les retraites sans pénaliser les travailleurs.
Le Rapport Du COR Totalement Orienté
Un Rapport Qui Flèche Une Seule Préconisation
La CGT critique vivement le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR), le qualifiant de « totalement orienté ». Denis Gravouil dénonce un « scandale » car le COR ne propose qu’une seule solution, contrairement à son rôle habituel d’émettre des hypothèses. Auparavant, le COR laissait aux politiques le soin de décider, mais cette fois, l’orientation est claire et unique.
Le COR, Un Instrument Au Service D’Une Politique
Selon la CGT, le COR est devenu un simple outil au service d’une politique unique. Cette situation est inacceptable pour le syndicat, qui estime que le COR devrait rester neutre et présenter diverses options.
Le Président Du COR, Ami D’Emmanuel Macron
La CGT accuse Gilbert Cette, le président du COR, d’être en mission commandée par Emmanuel Macron. Denis Gravouil critique son « double jeu » et remet en question son impartialité. Il souligne que Gilbert Cette avait soutenu Emmanuel Macron lors de la présidentielle de 2017 et qu’il semble favoriser les orientations du gouvernement actuel. La nomination de Gilbert Cette à la tête du COR en octobre 2023 fait suite aux critiques adressées à son prédécesseur, Pierre-Louis Bras, pour avoir affirmé que les dépenses de retraites ne dérapaient pas.
Le Financement Des Retraites Est Possible
Financer Les Retraites Sans Reculer L’Âge
La CGT persiste et signe : il existe des moyens de financer les retraites sans constamment repousser l’âge de départ. Augmenter le taux d’emploi est une piste essentielle. Pour cela, il faut s’attaquer au chômage des jeunes, à l’inactivité des femmes et à la mise à l’écart des seniors. La CGT avance des solutions concrètes :
- Revaloriser les salaires, notamment le SMIC, pour augmenter les cotisations.
- Lutter contre les exonérations de cotisations patronales qui représentent un manque à gagner considérable.
- Réduire les inégalités salariales entre les femmes et les hommes, ce qui générerait des milliards d’euros supplémentaires.
D’Autres Pistes Que Le Recul De L’Âge
Le débat sur les retraites est souvent polarisé sur la question de l’âge, mais d’autres options méritent d’être explorées. On peut par exemple regarder les mises à jour de Google Maps pour améliorer les transports et l’accès à l’emploi. La CGT insiste sur le fait que le recul de l’âge n’est pas la seule solution, et qu’il existe des alternatives viables. Ces alternatives, souvent écartées trop rapidement, pourraient pourtant apporter des réponses durables au défi du financement des retraites. Il faut oser sortir des sentiers battus et envisager des mesures innovantes.
La CGT Propose Des Solutions Alternatives
La CGT ne se contente pas de critiquer, elle propose des solutions. Au-delà des pistes évoquées précédemment, le syndicat met en avant la lutte contre la fraude patronale aux cotisations, qui représente un manque à gagner important pour le système de retraite. La CGT propose également de revoir la politique d’exonérations fiscales et sociales, souvent coûteuse et peu efficace. En explorant ces différentes pistes, il est possible de financer les retraites de manière juste et durable, sans pénaliser les travailleurs.
Une Recommandation Qui Passe Mal
La CFDT Dénonce Une Tentative De Biaiser Les Travaux
La CFDT a exprimé son désaccord face à ce qu’elle perçoit comme une tentative d’influencer les conclusions du Conseil d’orientation des retraites (COR). Elle craint que les données soient présentées de manière à favoriser une réforme spécifique, au détriment d’une analyse objective de la situation. La CFDT insiste sur l’importance de maintenir l’indépendance du COR pour garantir des recommandations équilibrées et justes.
Le Rapport Perçue Comme Inadmissible
Le rapport du COR est perçu par certains comme inacceptable, car il semble orienter les décisions politiques vers une seule solution : le recul de l’âge de départ à la retraite. Cette approche est critiquée pour plusieurs raisons :
- Elle ne tient pas compte des autres options de financement possibles.
- Elle ignore les conséquences sociales d’un tel recul, notamment pour les travailleurs aux métiers pénibles.
- Elle est perçue comme une remise en question des acquis sociaux.
Le Conclave Des Retraites Impacté
La controverse autour du rapport du COR risque de perturber les négociations sur les retraites. Les partenaires sociaux pourraient se montrer plus réticents à faire des concessions si ils estiment que le gouvernement a déjà fait son choix. L’atmosphère de confiance, déjà fragile, pourrait être davantage compromise. Il faut s’attendre à des discussions tendues et potentiellement infructueuses. L’avenir des retraites est plus incertain que jamais.
L’Influence Présidentielle Sur Le COR
Le COR Au Service D’Une Seule Politique
La CGT accuse le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) de servir une seule politique, celle du gouvernement actuel. Selon le syndicat, le COR, au lieu de présenter diverses options, oriente ses conclusions vers une solution unique : le recul de l’âge de départ à la retraite. Cette orientation est perçue comme une volonté de l’exécutif d’imposer sa vision sans tenir compte des alternatives.
Un Double Jeu Dénoncé Par La CGT
La CGT dénonce ce qu’elle considère comme un « double jeu » de la part du président du COR. Le syndicat estime que Gilbert Cette, en tant que président du COR, devrait garantir l’objectivité des analyses et des recommandations. Au lieu de cela, la CGT l’accuse de favoriser une politique spécifique, celle du gouvernement, ce qui compromet la crédibilité du Conseil d’Orientation des Retraites. C’est un peu comme si on avait un arbitre qui changeait les règles en cours de match pour favoriser une équipe. La CGT propose des solutions alternatives pour financer les retraites, notamment :
- Augmenter les cotisations patronales.
- Lutter contre l’évasion fiscale.
- Créer de nouveaux emplois pour les seniors.
Le Recul De L’Âge De Départ Contesté
Le COR Plaide Pour Un Nouveau Recul
Le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) semble insister sur une seule solution pour équilibrer le système de retraites : repousser l’âge de départ. C’est un peu comme si, face à un problème de budget, on disait qu’il faut juste travailler plus longtemps. Le COR critique les autres options, les jugeant mauvaises pour la croissance.
Les Pistes Alternatives Qualifiées De Récessives
Augmenter les cotisations des salariés, celles des employeurs, ou même modérer la progression des pensions ? Le COR rejette ces idées. On dirait qu’ils ont fait le tour de la question, mais qu’ils reviennent toujours au même point. C’est un peu frustrant, non ? On a l’impression qu’on ne considère pas d’autres solutions, comme par exemple l’augmentation des impôts sur les grandes fortunes.
La Seule Option Retenue Par Le COR
Le COR semble convaincu que la seule voie viable est de prolonger la durée de travail. Ils estiment que cela augmenterait l’offre de travail, l’emploi, le PIB, et donc les recettes fiscales. Mais est-ce vraiment la seule option ? On dirait qu’ils veulent porter l’âge de départ à 66 ans en 2070. C’est loin, mais ça fait quand même peur. On se demande si on va pouvoir tenir le coup jusqu’à cet âge-là. C’est un peu comme si on nous disait : « Travaillez plus, pour vivre moins ! »
Les Négociations Dans L’Impasse
La CGT Et FO Claquent La Porte
Les négociations sur la réforme des retraites ont atteint un point de non-retour. La CGT et FO ont décidé de quitter la table des discussions, dénonçant un simulacre de dialogue. Elles estiment que le gouvernement a déjà pris sa décision et que les concertations ne servent qu’à donner une illusion de consensus. C’est un coup dur pour l’exécutif, qui espérait obtenir un accord avec au moins une partie des partenaires sociaux. La situation est tendue, et l’avenir de la réforme des retraites s’annonce incertain. On dirait bien que le gouvernement va devoir avancer sans l’aval de ces deux organisations syndicales majeures. C’est un pari risqué, mais ils semblent déterminés à aller de l’avant.
Des Discussions Jugées Vaines
Les syndicats CGT et FO considèrent que les discussions avec le gouvernement sont inutiles. Ils affirment que l’exécutif n’est pas disposé à prendre en compte leurs propositions et qu’il est déterminé à imposer sa propre vision de la réforme. Pour eux, il n’y a plus d’espace pour un véritable dialogue social. Ils ont donc choisi de se retirer des négociations, estimant qu’il est préférable de concentrer leurs efforts sur la mobilisation des travailleurs. C’est une position radicale, mais elle témoigne de leur profonde conviction que le gouvernement est sourd à leurs revendications. On peut comprendre leur frustration, surtout quand on a l’impression de parler dans le vide. Il faut dire que le Conseil d’orientation des retraites (COR) a pas mal divisé les opinions.
Le Conclave Des Retraites Perte De Temps
La CGT et FO qualifient le « conclave des retraites » de perte de temps. Elles estiment que ce processus de concertation n’a pas abouti à des résultats concrets et qu’il a surtout servi à masquer l’absence de réelle volonté de négociation de la part du gouvernement. Elles dénoncent une mascarade, où les partenaires sociaux sont invités à donner leur avis, mais où leurs propositions ne sont pas prises en compte. Pour elles, il est temps de passer à l’action et de mobiliser les travailleurs pour défendre leurs droits. C’est une critique sévère, mais elle reflète le sentiment de nombreux syndicalistes qui ont l’impression d’être instrumentalisés par le pouvoir en place. On dirait bien que le départ à la retraite reste un sujet épineux.
En bref, la CGT ne lâche rien
Au final, la CGT ne change pas d’avis. Pour eux, le Conseil d’orientation des retraites, le COR, est trop proche du gouvernement. Ils pensent que le COR ne propose qu’une seule solution pour les retraites : travailler plus longtemps. Mais la CGT, elle, dit qu’il y a d’autres façons de faire. Ils veulent qu’on cherche de nouvelles idées pour financer les retraites, sans forcément reculer l’âge de départ. C’est un débat qui n’est pas prêt de se terminer, et chacun campe sur ses positions.