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En tant qu’acteur engagé dans la transition écologique, Enedis a l’ambition d’être un partenaire industriel de référence pour tous les acteurs de la mobilité électrique afin de co-construire les solutions permettant son développement à grande échelle. Aussi, le réseau électrique évolue et accompagne la transition écologique grâce au déploiement des compteurs communicants Linky. En 2021, la totalité des compteurs aura été installée dans les territoires, permettant aux Français d’agir sur la maîtrise de leur consommation d’électricité.

L’ENEDIS pour construire la transition énergétique

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Construire la transition énergétique. L’ENEDIS pour Déployer les énergies renouvelables. Anciennement ERDF, ENEDIS se veut un outil majeur de l’accès aux énergies renouvelables et aux nouvelles technologies, sur l’ensemble du territoire. Et a pour objectif de permettre aux consommateurs de profiter demain de nouveaux services, grâce à un réseau plus économique, qui reste solidaire et respecte l’environnement. Ainsi, l’ENEDIS contribue à élaborer une révolution énergétique et numérique qui sera favorable à tous les citoyens, grâce à une gestion optimisée des données. 

L’ENEDIS pour construire la transition énergétique

Elle intègre pour cela tous les acteurs de la société civile, qu’ils soient élus ou entrepreneurs. En modernisant le réseau électrique national, elle permettra à tous les foyers d’accéder à une meilleure qualité de vie, et à de nouvelles possibilités positives.

L’ENEDIS respecte ainsi les attentes de la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE), en tenant sa place de gestionnaire neutre et indépendant du réseau de distribution d’électricité, mis au service de tous les Français. Constituée de 39.000 salariés, travaillant au service de 35 millions de clients disséminés dans tout l’Hexagone.

L’ENEDIS pour construire la transition énergétique s’engage à respecter au quotidien des valeurs de proximité et de solidarité, qui animaient déjà hier l’ERDF. Afin d’être mieux connectée, pleinement réactive, et attentive aux nouveaux besoins de tout l’écosystème industriel, l’ENEDIS veille à faire évoluer l’ensemble de ses métiers.

Un service public du 21e siècle au plus près des clients

ENEDIS pour construire la transition énergétiquePour préserver la confiance de ses clients, Enedis garantit 24 h sur 24, à tous les Français, sur tous les territoires, une alimentation électrique de qualité grâce au réseau public de distribution solide et performant. Les 38 000 femmes et hommes d’Enedis se mobilisent chaque jour pour toujours mieux servir les clients et assurer la résilience du réseau électrique face aux aléas climatiques.

En tant qu’acteur engagé dans la transition écologique, Enedis a l’ambition d’être un partenaire industriel de référence pour tous les acteurs de la mobilité électrique afin de co-construire les solutions permettant son développement à grande échelle.

Aussi, le réseau électrique évolue et accompagne la transition écologique grâce au déploiement des compteurs communicants Linky. En 2021, la totalité des compteurs aura été installée dans les territoires, permettant aux Français d’agir sur la maîtrise de leur consommation d’électricité.

Pour cela, elle travaille en étroit partenariat avec tous les principaux acteurs de la filière électrique : les PME et PMI, les start-up, les sous-traitants et les chercheurs. Ainsi, elle contribue efficacement au développement économique des territoires et de l’emploi.

Le décret tertiaire : une impulsion vers une nouvelle ère énergétique

Si la transition énergétique repose sur des engagements à long terme, elle s’incarne aussi dans des mesures législatives précises, à l’instar du décret tertiaire. Ce texte impose aux bâtiments du secteur tertiaire des réductions significatives de consommation énergétique, avec des objectifs progressifs jusqu’en 2050. Pour atteindre ces cibles ambitieuses, il ne suffit plus d’améliorer légèrement les performances énergétiques : une refonte en profondeur des infrastructures est nécessaire. Isolation renforcée, modernisation des systèmes de chauffage, climatisation, éclairage… chaque élément doit être optimisé. Ce décret devient donc un levier de transformation pour les acteurs du bâtiment, tout en consolidant la cohérence des efforts entrepris dans le cadre de la transition énergétique.

Innover pour répondre aux enjeux énergétiques

Pour répondre aux enjeux du décret tertiaire et se conformer à ses exigences, les entreprises doivent désormais investir dans des technologies plus performantes. L’installation de systèmes de gestion intelligente de l’énergie, capables de piloter l’éclairage et le chauffage en fonction de l’occupation des lieux, représente une avancée majeure. Notez par ailleurs que la récupération de chaleur et l’utilisation d’énergies renouvelables comme le photovoltaïque ou la géothermie sont des solutions qui se généralisent. Les bâtiments évoluent et se transforment en véritables hubs énergétiques dont les missions sont de produire, de consommer et même de stocker leur énergie. Cette approche active permet à la fois de répondre aux normes et de réduire les coûts d’exploitation à long terme.

Une responsabilité partagée pour une évolution durable

Le décret tertiaire impose une synergie entre acteurs publics et privés pour réussir cette transformation. Chaque bâtiment doit dorénavant suivre un plan de suivi et de reporting régulier, avec des indicateurs de performance précis. Ce cadre réglementaire encourage aussi la rénovation massive des bâtiments existants, notamment ceux qui datent d’avant 1990, le plus souvent très énergivores. En adaptant leurs infrastructures, les entreprises et collectivités contribuent non seulement à réduire leur empreinte carbone, mais aussi à améliorer le confort des occupants. Loin d’être une simple contrainte, ce décret pousse à une meilleure gestion des ressources qui profitera aux générations futures.



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Né à Paris le 12 Décembre 1981, Pierre Baron est un journaliste français. En 1999, à tout juste 19 ans, il débute une carrière de journaliste à News-York sur la chaîne spécialisée en économie Bloomberg TV. Il rejoint BFM TV dès son lancement en 2005 et anime des émissions sur la chaîne d'info en continu de 2005 à 2010. On le voit ensuite sur iTélé, entre 2011 et 2017 date à laquelle il intègre la rédaction du Bulletin des Communes qui lui confie la rubrique NTIC.