Les commerces de proximité jouent un rôle clé pour la sécurité alimentaire. Ils maintiennent une offre accessible dans les centres et les quartiers. Ils limitent les déplacements nécessaires pour les courses quotidiennes. Les communes doivent donc soutenir ces acteurs stratégiques.
Prévenir l’apparition de déserts alimentaires

La fermeture d’une boulangerie ou d’une supérette fragilise un quartier. Les habitants sans voiture sont les premiers touchés. Les personnes âgées rencontrent alors de fortes difficultés.
Les communes peuvent anticiper ces évolutions. Elles suivent l’évolution des baux commerciaux et des fermetures. Elles mobilisent parfois des outils d’urbanisme commercial.
Soutenir l’installation ou la reprise de commerces essentiels
Les reprises de commerces restent parfois complexes à financer. Les communes peuvent accompagner les porteurs de projet. Elles facilitent l’accès aux locaux et aux informations.
Elles peuvent aussi créer des marchés hebdomadaires attractifs. Ces marchés complètent l’offre des commerces fixes. Ils renforcent la sécurité alimentaire locale .
Organiser une logistique du dernier kilomètre plus sobre
Les livraisons à domicile se développent rapidement. Elles peuvent répondre aux besoins des personnes peu mobiles. Elles posent aussi des questions de circulation et d’empreinte carbone.
Les communes réfléchissent à des solutions plus sobres. Elles soutiennent parfois des livraisons à vélo ou en véhicule léger. Elles coordonnent ces initiatives avec les commerçants locaux.
Articuler commerces, solidarité et alimentation durable
Les commerces peuvent participer à la lutte contre le gaspillage. Ils peuvent aussi s’engager dans des conventions de dons.
L’article Réduction du gaspillage décrit ces pistes.
Ces démarches renforcent le rôle des commerces dans la cohésion locale.


