Le marketing territorial touristique gagne en importance pour les communes. La concurrence entre destinations s’intensifie. Les élus doivent clarifier leur image et leur positionnement. Ils doivent aussi rester crédibles aux yeux des habitants.
Relier marketing territorial et stratégie touristique des territoires

Le marketing territorial touristique n’est pas qu’une question de logo. Il découle directement de la stratégie touristique des territoires . Il traduit en messages une vision et des choix concrets.
Les élus doivent donc définir quelques promesses claires. Ces promesses reposent sur des atouts réels du territoire. Elles doivent parler autant aux visiteurs qu’aux habitants.
Construire une marque de destination crédible
La marque de destination touristique s’appuie sur une identité forte. Elle valorise l’histoire, les paysages et la culture locale. Elle montre ce qui distingue ce territoire des autres.
Les communes peuvent créer un nom et une signature. Elles choisissent des visuels cohérents sur tous les supports. Elles associent les acteurs locaux à ces choix.
Articuler marketing, tourisme durable et patrimoine
Le marketing territorial touristique ne doit pas cacher les réalités. Il doit intégrer le tourisme durable et le tourisme patrimonial .
Les messages mettent en avant la qualité de vie. Ils valorisent la sobriété, la nature et la culture locale. Ils évitent les promesses intenables ou trompeuses.
Déployer la marque sur tous les supports
Le marketing territorial touristique se diffuse partout. Il concerne les sites internet, les réseaux sociaux et les brochures. Il s’invite aussi dans la signalétique et l’espace public.
Les offices de tourisme connectés deviennent les chefs d’orchestre. Ils appliquent la charte graphique et éditoriale. Ils produisent des contenus adaptés à chaque canal.
Ces aspects rejoignent l’article Tourisme numérique et offices de tourisme connectés .
Associer habitants et acteurs locaux à la marque
La marque de destination touristique doit rester partagée. Les habitants doivent s’y reconnaître. Les acteurs locaux doivent pouvoir l’utiliser.
Les communes peuvent lancer des ateliers de co-construction. Elles testent plusieurs pistes de messages et de visuels. Elles recueillent les réactions et les ajustent.
Cette appropriation renforce la cohérence du discours du territoire. Elle limite les décalages entre communication et réalité vécue.


