La gestion de l’environnement. Avec 35 ans d’expérience, Menahem David SMADJA, économiste et écrivain, a développé des solutions macro-économiques basées sur la gestion des défis humains pour le XXI siècle. Sa vision est la suivante : Les bouleversements des 70 dernières années, tant au niveau industriel que technologique ont amené les êtres humains à changer totalement leur façon de se comporter vis avis d’eux-mêmes et vis-à -vis des autres.
La gestion de l’environnement pour lutter contre le réchauffement
De nos jours, les questions environnementales constituent un défi et un enjeu fondamental pour la survie de la génération future. En effet dans le cadre de la COP 21, des engagements ont été pris par les états signataires afin de stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines en réduisant les gaz à effet de serre.
En effet, dans son 5e rapport remis en 2014, le Groupe d’Expert Intergouvernemental sur l’évolution du Climat (GIEC) explique que le réchauffement climatique est « sans équivoque » et sans précédent au cours du dernier millénaire. L’impact des activités humaines sur le réchauffement climatique est jugé « extrêmement probable » : ces activités seraient d’ores et déjà responsables d’une hausse de température de 0,85°C depuis l’époque préindustrielle.
Le GIEC a présenté deux scénarios :
- un scénario dit « émetteur » sans action particulière pour lutter contre le réchauffement, dans la lignée des 20 dernières années. Sur cette base, un réchauffement climatique pouvant atteindre 4°C à 5°C est attendu d’ici à 2100 avec de nombreuses conséquences jugées irréversibles : acidification des océans, perte de biodiversité, problèmes alimentaires et de ressources d’eau, augmentation du nombre de « réfugiés climatiques » …
- un scénario dit « sobre » dans lequel les actions des États permettraient de limiter le réchauffement climatique à une hausse de température globale de 2°C d’ici à 2100 par rapport à la période 1861-1880, objectif énoncé lors du Sommet de Copenhague en 2009. Les effets ne seraient alors pas nuls, mais plus « supportables » selon les travaux du GIEC.
Une vision alternative pour un futur plus équitable
Partant de cette situation très préoccupante pour les générations à venir, l’économiste Menahem David SMADJA propose d’instaurer un jour de repos hebdomadaire supplémentaire.
Basé sur l’équation suivante : 52 semaines par an et 15 jours de Fêtes fériées feraient environ 70 jours par an, soit 20% de l’année totale.
En respectant ce jour de repos hebdomadaire, cela réduirait donc de 20% la pollution.
Économiquement, le déficit d’activité serait comblé par les gains suivants :
- Pour-soi : une meilleure santé, une meilleure productivité, moins de frais médicaux, moins d’arrêts de travail.
- Pour sa famille : moins de stress, moins de séparation, des enfants moins déséquilibrés, mieux éduqués.
- Pour ses amis : plus de réseaux « réels », plus de business, plus d’entraide, plus de solidarité.
Sur son site, il y développe sa vision alternative pour un futur plus équitable.
Persuadé qu’il existe des solutions naturelles, il pense que l’engagement personnel d’aujourd’hui déboucherait vers un lendemain meilleur pour notre terre et pour nos enfants.