Le slow tourism et les itinéraires vélo connaissent un fort développement. Les visiteurs souhaitent voyager plus lentement et plus consciemment. Les communes investissent dans voies vertes et véloroutes. Elles adaptent aussi leurs services à ce nouveau public.
Développer des itinéraires continus et sécurisés

Les cyclistes recherchent sécurité et lisibilité des parcours. Les communes créent des tronçons dédiés et bien signalés. Elles relient gares, centres-bourgs et sites touristiques. Elles coordonnent leurs actions avec intercommunalités et régions.
Ces itinéraires complètent les offres de tourisme rural et de tourisme littoral .
Proposer des services adaptés aux cyclotouristes
Les cyclistes ont des besoins spécifiques en escales. Ils recherchent hébergements sécurisant les vélos et équipements. Les communes encouragent labels et chartes pour ces structures. Elles cartographient points d’eau, réparations et stations vélos.
Une information claire facilite la préparation des séjours. Elle renforce l’image d’accueil du territoire.
Articuler slow tourism, patrimoine et gastronomie
Le slow tourism invite à prendre le temps de s’arrêter. Les itinéraires vélo relient patrimoine, marchés et villages. Les communes créent des boucles gourmandes ou culturelles.
L’article tourisme gastronomique complète cette dimension.
Inscrire les itinéraires vélo dans une stratégie durable
Le vélo limite émissions et nuisances liées aux déplacements. Les communes intègrent cette mobilité douce à leur stratégie.
L’article stratégies locales de tourisme durable détaille ces démarches.


