La nature en ville ne relève plus du simple embellissement. Elle joue un rôle clé pour le climat, la santé et l’attractivité. Elle s’inscrit désormais au cœur de la planification écologique territoriale.

Relier biodiversité et planification écologique

La planification écologique des collectivités locales doit intégrer la biodiversité. Les PCAET et les documents d’urbanisme peuvent fixer des objectifs précis.

Les communes identifient des trames vertes et bleues. Elles protègent certains espaces stratégiques. Elles renaturent d’anciennes friches ou des cours minérales.

Créer des îlots de fraîcheur et des parcs de proximité

Les arbres et les sols perméables limitent les îlots de chaleur. Ils améliorent le confort en période de canicule. Ils favorisent aussi l’infiltration des eaux pluviales.

Les communes créent des parcs accessibles à pied. Elles privilégient des essences adaptées au climat futur. Elles associent les habitants au choix des usages.

Associer écoles et habitants aux projets de nature

Les écoles constituent des lieux stratégiques. Les cours renaturées offrent des espaces plus calmes et plus frais. Elles deviennent aussi des supports pédagogiques sur le climat.

Les communes organisent des chantiers participatifs. Elles font intervenir des associations de protection de la nature. Elles valorisent ces actions dans leurs communications locales.

Ces projets renforcent les mesures d’adaptation décrites dans l’article sur les canicules .