L’agriculture urbaine et les jardins partagés se développent dans de nombreuses communes. Ces projets rapprochent les habitants de la production alimentaire. Ils renforcent la résilience locale face aux crises. Ils créent aussi des lieux de rencontre et d’apprentissage.
Identifier des espaces disponibles en ville

Les communes disposent parfois de friches ou de terrains peu utilisés. Elles peuvent transformer ces espaces en jardins partagés. Elles peuvent aussi soutenir des projets sur des toits ou des cours. Chaque parcelle devient alors un support de production et de pédagogie.
Ce repérage s’inscrit dans une stratégie plus large. Le PAT peut intégrer ces projets agricoles urbains.
Construire des projets partagés avec les habitants
Les jardins partagés fonctionnent mieux lorsqu’ils impliquent les habitants. Les communes invitent associations, écoles et bailleurs à participer. Elles co-construisent un règlement simple et bienveillant. Elles clarifient les questions d’accès, d’eau et d’outillage.
Ces lieux favorisent les échanges entre générations. Ils mélangent nouveaux arrivants et habitants de longue date.
Faire des jardins des lieux de pédagogie alimentaire
Les potagers collectifs offrent un support idéal pour l’éducation au goût. Les enfants observent le cycle complet des plantes. Ils comprennent la saisonnalité et le temps nécessaire à la production.
L’article Éducation au goût met en valeur ce potentiel.
Les jardins peuvent aussi accueillir ateliers cuisine de plein air.
Relier agriculture urbaine, solidarité et climat
Une partie des récoltes peut alimenter des actions solidaires. Les jardins peuvent fournir des produits à une épicerie sociale. Ils peuvent soutenir des ateliers avec des familles en difficulté.
Ils contribuent aussi à la lutte contre les îlots de chaleur urbains. Ils renforcent la biodiversité au cœur de la ville.
Ainsi, ils participent pleinement à la sécurité alimentaire des communes .


