La trottinette écoresponsable. Conçue en Vendée par la startup Célérifère, Imi est une trottinette écoresponsable bourrée d’avantages. Ainsi, comparée à ses rivales, on peut plus aisément la démonter, la réparer, puis la recycler.
La trottinette écoresponsable, un démarrage prometteur pour Imi
Célérifère a conçu cette trottinette pour qu’elle soit facile à assembler, puis à recycler. Lorsqu’elle sera trop usée. En Japonais, son nom veut dire « Bon sens ». Un patronyme qui évoque tout de suite son côté pratique et intelligent. Pensé pour des déplacements quotidiens qui respectent l’environnement.
Mise sur le marché depuis janvier dernier, cette trottinette écoresponsable suscite déjà un grand intérêt. Ainsi, dans sa région natale, la commune de la Roche-sur-Yon a commandé cinq Imi. Grâce à une formule de prêt-essai. Cela va compléter la vingtaine de vélos électriques qu’elle utilise.
De futurs marchés en perspective pour la trottinette écoresponsable Imi
De même, en Loire-Atlantique, la mairie de Vertou a également acheté six de ces engins. Ce qui va lui permettre de circuler plus vite entre ses bâtiments municipaux. Au total, pour l’instant, une vingtaine d’Imi a déjà séduit des collectivités et des sociétés. Attirées par des moyens de déplacement plus écologiques et plus durables. Ensuite, en fonction du succès rencontré par cette trottinette écoresponsable, le marché des particuliers devrait s’ouvrir progressivement.
La trottinette écoresponsable, une approche éthique !
Comme l’explique Karim Tarzaim, le concepteur de l’Imi, il voulait d’abord produire un engin « […] pour effectuer le dernier kilomètre sans fatigue. » Cependant, cet ingénieur en mécanique voulait en plus fabriquer un moyen de locomotion entièrement démontable. Ce qui n’est pas le cas de ses concurrentes asiatiques. Pour cela, il s’est imposé une fabrication sans aucun collage ni soudure. Ce qui rend l’Imi réparable avec des outils standards. De plus, tous les matériaux utilisés proviennent de déchets. Par exemple, des matières plastiques ou des chutes de cuir. Enfin, le corps de l’Imi est en inox et en aluminium. Ensuite, cela évite tout traitement.
Une production quasi locale
Actuellement, cette trottinette écoresponsable d’une autonomie de quinze kilomètres se vend 1.500 € hors taxe. De plus, ce sont des apprentis en situation de handicap qui l’assemble. Dans un atelier à Dompierre-sur-Yon. Par ailleurs, ses pièces proviennent uniquement de sociétés se trouvant à proximité. A l’exception de quelques composants électroniques, non fabriqués en Europe. Par conséquent, l’Imi est fière d’être un produit « Made in Vendée » !