Prime à la conversion : un cadre clairement défini qui a été élargi.
Nicolas Hulot souhaite soutenir la réforme gouvernementale anti-pollution, mise en oeuvre au début de l’année, qui encourage le développement des véhicules propres.
Les conditions d’accès à la prime à la conversion dépendent à la fois du type de véhicule acheté ou loué, et de la nature du véhicule qui est mis à la casse. Ce dernier doit avoir été mis sur le marché avant le premier janvier 2001, s’il s’agit d’un véhicule diesel, et avant le premier janvier 1997 dans le cas d’un véhicule à essence. Pour faciliter l’acquisition d’un véhicule électrique neuf, le montant de la prime à la conversion a été fixé à 2.500 euros. Si le véhicule électrique acheté est d’occasion, ou s’il porte une vignette Crit’air 1 ou 2, la prime accordée passe alors à 1.000 euros. Toutefois, elle s’élève à 2.000 euros pour les personnes non-imposables. Les acquéreurs de véhicules à deux ou trois roues neufs, ainsi que de quads électriques, d’une puissance maximale supérieure ou égale à 3 kilowatts, peuvent désormais obtenir cette aide. Le montant de la prime est fixé à 1.000 euros pour les acquéreurs imposables, et à 1.100 euros, une fois le bonus écologique déduit, pour ceux qui ne le sont pas. Le ministère de la Transition Ecologique a mis en ligne sur Internet une plateforme destinée à vérifier si l’on est éligible à la prime à la conversion et pour quel montant.