Un botnet neutralisé : une victoire de la gendarmerie française contre la cybercriminalité
Dernièrement, un botnet neutralisé par la gendarmerie française a révélé un piratage informatique exceptionnel. De fait, l’éditeur d’antivirus Avast a facilité cette énorme opération. Finalement, ce botnet regroupait un immense réseau d’ordinateurs infectés.
Un énorme démantèlement
Aujourd’hui, ce botnet neutralisé représente une victoire de taille pour la gendarmerie. Ainsi, grâce à de patients efforts et aux informations d’Avast, une unité militaire a démantelé un réseau très malfaisant. En fait, le serveur informatique qui le pilotait se trouvait en Ile-de-France. D’une envergure colossale, ce botnet regroupait 850.000 ordinateurs infectés. Redoutable, un ver informatique diffusé par ce botnet polluait l’ensemble de ces terminaux. Déjà connu de la police anti-cybercriminalité, son nom est Retadup. Indécelable, il permettait aux pirates de contrôler à distance les ordinateurs de leur choix. Cela, sans que leurs propriétaires s’en aperçoivent. De taille mondiale, ce botnet neutralisé infectait des ordinateurs dans de nombreux pays.
Une stratégie calculée
Dernièrement, la gendarmerie française est parvenue à arrêter un piratage informatique d’une taille exceptionnelle.D’abord, la gendarmerie française a identifié divers détournements de données. De fait, ils étaient causés par Retadup. Pour le repérer, l’éditeur Avast a beaucoup facilité les efforts des gendarmes. Ce spécialiste est connu comme expert en antivirus. Ensuite, pour contrer ce botnet, la gendarmerie a copié le serveur francilien qui pilotait cet énorme piratage. Discret, il sévissait depuis 2016. Après analyse, la gendarmerie a trouvé la faille du serveur des pirates. Ainsi, cela a permis aux gendarmes spécialisés de désinfecter tous les ordinateurs contaminés. Cette étape a eu lieu à distance. Vu l’ampleur du botnet neutralisé, la police fédérale américaine, le FBI, a aidé la gendarmerie française.
Une affaire qui fera date
Désormais, cette victoire contre la fraude informatique à grande échelle constitue une première mondiale en France. A ce jour, elle a permis de désinfecter près de 850.000 ordinateurs. Actuellement, la gendarmerie continue son enquête. Ainsi, elle veut identifier tout le groupe criminel responsable de ce botnet. Parallèlement, la section F1 du parquet de Paris, dédiée à la cybercriminalité, a contrôlé toute cette opération de botnet neutralisé.
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