Des aides adaptées à différents cas.
Afin d’aider les jeunes handicapés des soutiens financiers existent, destinés à faciliter leur intégration sociale. Ces ressources sont principalement au nombre de trois.Afin d’aider les jeunes handicapés des soutiens financiers existent, destinés à faciliter leur intégration sociale. Ces ressources sont principalement au nombre de trois.
- La Prestation d’Accueil du Jeune Enfant (PAJE).
Cette aide spécifique est versée par la Caisse d’Allocations Familiales. Elle se décompose en quatre parties : la prime à la naissance ou à l’adoption, l’allocation de base, le complément de libre choix d’activité, et celui du mode de garde. Pour percevoir cette prime particulière, il faut préalablement fournir une déclaration de grossesse. Celle-ci doit être envoyée dans les 14 premières semaines de grossesse à l’organisme qui paye la prime, ainsi qu’à la Caisse d’Assurance Maladie.
- L’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH).Elle est prévue pour financer une partie des frais supplémentaires qu’engendrent l’éducation d’un enfant handicapé. Cette allocation forfaitaire ne tient pas compte du niveau de ressources des familles. Dans les situations où le handicap d’un enfant a une incidence sur l’activité professionnelle des parents, occasionnant des frais ou l’aide d’une tierce personne, un complément peut alors être versé en plus de l’allocation de base.
- L’Allocation Journalière de Présence Parentale (AJPP)
Cette prestation est attribuée aux parents, ou à toute personne exerçant le rôle parental, qui assument la charge d’un enfant âgé de moins de 20 ans et dont le handicap nécessite une assistance soutenue, impliquant des soins contraignants. Pour chaque journée de congé prise, le parent perçoit alors une allocation journalière.